Smart PV : le soleil brille toujours sur la population et l’économie de Qinghai

La plus grande base d’énergie renouvelable du monde montre comment la technologie peut bâtir une planète saine

SHENZHEN, Chine, 18 novembre 2021 /PRNewswire/ — En chinois, « Qinghai » signifie « eaux bleues ». Nommée d’après le lac Qinghai, le plus grand lac salé intérieur de Chine, la province de Qinghai a attiré l’attention du monde entier en novembre 2020 lorsque la construction de deux bases d’énergie renouvelable de 10 millions de kW a été achevée dans les préfectures de Hainan et Haixi. Nous nous sommes donc rendus à la centrale photovoltaïque de Talatan, dans le comté de Gonghe, à 60 km au sud-est du lac.

Lorsque l’on se rend de la capitale provinciale Xining au comté de Gonghe, les montagnes escarpées des deux côtés de la route reculent progressivement et l’horizon s’élargit peu à peu. Le ciel azur, les nuages cotonneux, les collines verdoyantes et les troupeaux de bovins et de moutons errants évoquent la sérénité et la paix. Les chapeaux blancs sur les montagnes lointaines sont la seule trace du vent et des chutes de neige de la nuit précédente.

10 ans de construction

Avant 2011, le comté de Gonghe, isolé et peu peuplé, était relativement peu connu. Lorsque la construction de la plus grande base d’énergie renouvelable du monde a commencé, une entreprise monumentale compte tenu de la difficulté à faire venir les grues et autres équipements, le comté a connu la période la plus active de son histoire. La décennie a également vu le développement rapide d’industries auxiliaires comme celles de la restauration, de l’hébergement, de la réparation automobile, de la ferronnerie et des matériaux de construction.

Ce niveau d’activité n’avait été atteint qu’une seule fois auparavant, dans les années 1980, lors de la construction de la centrale hydroélectrique de Longyangxia.

Le 26 septembre 2020 a été une journée mémorable pour Huawei et les spécialistes de l’énergie Huanghe. À 17 h 18, le dernier segment de la centrale photovoltaïque de 2,2 GW de Qinghai Gonghe a été raccordé au réseau électrique, marquant le déploiement d’une source d’énergie qui soutiendra le premier projet de transmission d’énergie UHVDC au monde pour transmettre une énergie 100 % propre. La centrale photovoltaïque de Gonghe n’est pas seulement la plus grande centrale photovoltaïque du monde, elle est aussi la plus rapide de toutes les centrales à énergie nouvelle, puisqu’il ne s’est écoulé qu’un an entre l’appel d’offres et le raccordement au réseau.

La ligne de transmission UHVDC de Qingyu, que la centrale supporte, s’étend sur 1 563 km de Hainan, dans la province de Qinghai, à Zhumadian, dans la province de Henan, et est capable d’éclairer la région des plaines centrales avec une énergie 100 % propre.

La centrale de Gonghe et les centrales éoliennes de la province sont toutes deux connectées au réseau électrique, offrant des capacités de 15,436 millions de kW à Hainan et de 10,12 millions de kW à Haixi. Chacune des bases d’énergie renouvelable a désormais une capacité de 10 millions de kW.

Qingyu UHVDC power transmission line, spanning 1,563 km, lights up the Central Plains with clean energy from the plateau in northwest China

Il y a dix ans, le marché chinois des onduleurs était dominé par les onduleurs centraux. En 2013, Huawei et Huanghe ont déployé des onduleurs de chaîne dans la centrale photovoltaïque de Golmud, dans le Qinghai, marquant ainsi la première installation d’onduleurs de chaîne dans une centrale photovoltaïque au sol à grande échelle. Cela a brisé la domination des onduleurs centraux et a stimulé un nouveau développement dans l’industrie photovoltaïque. En 2014, les deux entreprises ont lancé la solution photovoltaïque intelligente basée sur des onduleurs à chaîne pour numériser les centrales photovoltaïques. Un an plus tard, Huawei a créé le Smart PV Joint Innovation Center avec Huanghe, qui a rapidement développé la technologie Smart I-V Curve Diagnosis, révolutionnant les opérations et la maintenance et réduisant le LCOE (coût actualisé de l’énergie).

En 2017, les onduleurs à branche ont dépassé les onduleurs centraux pour devenir les principaux onduleurs photovoltaïques. Smart I-V Curve Diagnosis est aujourd’hui largement utilisé dans le monde entier, remplaçant les services d’opérations et de maintenance et les inspections manuelles complexes et inefficaces et accélérant l’arrivée du photovoltaïque abordable. Une petite étincelle déclenche un grand feu : le photovoltaïque intelligent a commencé par le fleuve Jaune et aujourd’hui, la centrale photovoltaïque de Gonghe, d’une superficie de 609 kilomètres carrés, est l’une des plus grandes centrales photovoltaïques du monde, complétée par la centrale de démonstration de 100 MW.

Selon Xie Xiaoping, président de Huanghe, les deux entreprises ont obtenu des résultats exceptionnels grâce à l’alignement de leurs ressources et à la complémentarité de leurs forces. En l’espace de dix ans seulement, la première ligne de transport d’électricité à très haute tension 100 % énergies propres au monde a été mise en place, de même que la plus grande base d’énergie renouvelable au monde, un opérateur d’énergie photovoltaïque, une centrale photovoltaïque unique, une centrale hydro-solaire et une base de démonstration.

Grâce aux technologies d’information numérique, aux réseaux 5G et aux terminaux portables intelligents de Huawei, Huanghe avait construit le plus grand centre de contrôle centralisé des énergies nouvelles du pays. Avec plus de 20 millions de points de mesure de données, le centre gère de manière centralisée 34 centrales photovoltaïques, fournissant des services tels que l’analyse des big data, le diagnostic à distance et la maintenance en temps réel.

Il est prévu de créer un nouveau parc photovoltaïque d’une superficie de 609,6 kilomètres carrés, soit à peu près la superficie de Singapour, et un parc éolien de 2 400 kilomètres carrés.

À la fin de 2020, les ressources renouvelables de Hainan totalisaient une capacité installée de 18,65 millions de kW, dont 9 millions de kW d’énergie photovoltaïque, 5,5 millions de kW d’énergie hydraulique, 4,1 millions de kW d’énergie éolienne et 50 000 kW d’énergie solaire thermique.

Les chansons folkloriques font leur retour à Talatan

Situé dans le cours supérieur du fleuve Jaune, Talatan était autrefois un paysage de sable balayé par les vents, en proie à la sécheresse et au surpâturage.

Depuis 2011, l’énergie photovoltaïque a permis de restaurer progressivement la végétation dégradée et de revitaliser l’écosystème des prairies, l’énergie solaire augmentant l’humidité du sol et réduisant l’évaporation de la surface du sol. Les habitants qui gardent des moutons sous des rangées apparemment infinies de panneaux solaires sur le plateau du Qinghai-Tibet sont un exemple vivant de la façon dont les technologies peuvent coexister harmonieusement avec la nature. Le ciel est bleu, la nature sauvage est vaste, et le vent chante aux vaches et aux moutons à travers l’herbe.

En seulement 10 ans, Talatan a retrouvé son aspect d’antan ; son passé verdoyant a voyagé dans le temps jusqu’au présent et le son des chansons folkloriques peut à nouveau être entendu.

Sheep running towards the PV park

Sur le chemin de Talatan, Huan Xingsheng, directeur adjoint de la technologie de production pour la société d’exploitation et de maintenance photovoltaïque de Huanghe, estime que le « pâturage solaire » incarne la nature de cette terre, et le terme est actuellement en cours d’enregistrement en tant que marque.

Duo Goujie, 50 ans, vit dans la ville de Tiegai, où sa femme et lui élèvent plus de 550 moutons Han à petite queue, qui paissent dans les champs luxuriants voisins.

« Avant, il n’y avait pas d’herbe fertile ici. Elle poussait en touffes, avec du sable partout, comme celle que l’on voit au bord des routes. Les moutons n’aimaient pas ça », raconte Duo en souriant.

Lors de la planification du projet photovoltaïque à Talatan, Huanghe a cherché des moyens de déployer les centrales photovoltaïques de manière à ce qu’elles profitent à la fois à l’écosystème naturel et à l’industrie photovoltaïque. Pour absorber l’impact du vent et du sable du désert sur les panneaux solaires photovoltaïques, Huanghe a semé des graines de pâturage autour du parc photovoltaïque. L’herbe à l’intérieur du parc a rapidement poussé beaucoup plus haut que l’herbe à l’extérieur.

« L’herbe pousse mieux car l’abri des panneaux photovoltaïques réduit l’évaporation de la surface du sol, et l’eau utilisée pour nettoyer les panneaux photovoltaïques augmente l’humidité du sol », explique Huan Xingsheng.

Cependant, cela crée de nouveaux défis : l’herbe qui pousse trop haut empêche la lumière du soleil d’atteindre les panneaux photovoltaïques et affecte la production d’électricité. L’herbe prend également facilement feu lorsqu’elle se fane en hiver. En 2015, Huanghe a fait migrer 600 moutons dans le parc. Ils ont ainsi maintenu l’herbe à une certaine hauteur, de sorte que la production d’électricité n’a pas été affectée et que la vie des agriculteurs a été rendue beaucoup plus facile.

Toujours en 2015, Huanghe a commencé à étudier l’impact environnemental des grandes centrales photovoltaïques. Elle a constaté que leur déploiement améliorait l’humidité du sol et la croissance de la végétation, en réduisant la vitesse moyenne du vent de 41,2 % et la température quotidienne de l’air de 0,5℃, tout en améliorant l’humidité quotidienne moyenne de l’air de 2,1 % et l’humidité du sol de 32 % à 20 cm de profondeur.

En conséquence, Huanghe a ajusté la conception des supports photovoltaïques de 50 cm à 1,2 m au-dessus du sol. L’augmentation des coûts de construction a été compensée par la signature d’accords de pâturage avec les agriculteurs locaux, l’emploi de villageois locaux pour aider à la construction et à l’entretien du parc photovoltaïque, et la culture de plantes commerciales comme les chrysanthèmes des neiges et l’herbe Togou dans le parc. Le modèle consistant à profiter conjointement de l’écosystème et de la population locale en déployant la technologie solaire a à son tour stimulé l’industrie photovoltaïque, les transports locaux, la construction et le tourisme, entraînant le développement et la prospérité des groupes minoritaires du cours supérieur du fleuve Jaune.

En 2018, en réponse au succès de Talatan, le laboratoire clé d’État sur la conservation écologique de l’eau dans les régions arides du Nord-Ouest a créé une branche à Huanghe dédiée à la recherche sur la gestion des zones qui, comme le Qinghai, sont arides ou se sont transformées en désert.

Soutenu par la plus grande base d’énergie renouvelable au monde, le réseau électrique du Qinghai a franchi plusieurs étapes depuis 2017 pour fournir une énergie verte ininterrompue, atteignant 7, 9, 15, puis 30 jours consécutifs.

Le 16 août 2021, il a atteint le record de 100 jours.

En regardant depuis une tour d’inspection de 30 mètres de haut, il est possible d’apercevoir un océan bleu de panneaux photovoltaïques qui contraste avec le lac Qinghai, situé à peu de distance. Aujourd’hui, cette terre est pleine de joie, avec plus de 5 000 moutons qui paissent dans le parc et le son des agriculteurs qui chantent flottant sur les prairies.

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World Central Banks Under Fire as Cost of Living Surges

For weeks, governments and policymakers across the world have been suggesting the recent spikes in consumer and energy prices are transitory and rising inflation will ease, once pandemic-related chain-supply disruptions and labor shortages are resolved and the global economy reboots.

But recent figures suggest inflation may persist for some time, prompting worries about an explosive cost-of-living crisis, which could roil the domestic politics of countries and disrupt the electoral plans of incumbent parties and their leaders.

Central bankers have been saying the price increases of goods, rent, food and energy are one-offs, the consequences of economies struggling to recover from the induced coma of COVID-19 lockdowns and pandemic restrictions. But new data on inflation from around the world have exceeded forecasts, and central bankers are now being criticized for failing to act to restrain surging prices.

Bank of England stands pat

Central banks are coming under mounting pressure to raise interest rates but are nervous about acting too hastily and reversing recovery by reducing stimulus measures. The Bank of England earlier this month decided not to raise interest rates despite its governor, Andrew Bailey, earlier saying bankers “will have to act and must do so if we see a risk, particularly to medium-term inflation and to medium-term inflation expectations.”

Recent figures show inflation in Britain has now jumped to its highest level in nearly a decade, with the consumer price index climbing 4.2% in October from a year earlier. The Bank of England has an official inflation target of 2%. The bank’s decision not to raise its key rate, leaving it at 0.1%, confounded the financial markets and sent the pound plunging in value, and the inaction is still being criticized by many economic commentators.

They include Neil Wilson of Markets.com, who says the governor’s “credibility is at stake.”

Likewise, in the United States, the Federal Reserve is coming under fire over rising inflation. Earlier this week, Mohamed El-Erian, chief economic adviser at Allianz and an influential commentator, said he thought America’s central bank was losing credibility over its long-standing view that inflation is transitory.

“I think the Fed is losing credibility. I’ve argued that it is really important to re-establish a credible voice on inflation and this has massive institutional, political and social implications,” he said.

El-Erian told CNBC-TV the Federal Reserve’s inflation stance risked undermining President Joe Biden’s economic agenda, warning that policymakers should not forget that those on low incomes are the hardest hit by rising consumer prices.

In the US

The rapid increase in household living costs already is being felt by Americans.

According to a series of opinion polls conducted by the pollster YouGov for The Economist magazine, 46% of Americans said they believed the state of the economy was “getting worse,” with only 19% saying it was “getting better.”

In the U.S., the consumer price index rose 6.2% in the 12 months ending in October, the highest rate in three decades. Americans said rising wages were not keeping up with rapidly increasing prices. Fifty-six percent of the respondents to YouGov said they were having trouble affording fuel, 48% could not easily pay their rent or mortgages and 45% said they were struggling to feed their families.

Some member states of the European Union also are facing a cost-of-living crisis.

Romania reported in October an annual inflation rate of 6.5%, the highest increase in consumer prices among EU member states in southeast Europe, according to Eurostat, the EU’s statistical office. Eurozone inflation is running at 4.1%, more than double the European Central Bank’s target.

Increases seen as transitory

This week, European Central Bank President Christine Lagarde conceded that Eurozone inflation likely would remain elevated for longer than had been expected. She remained wedded to the idea that price increases were likely transitory, and she was still forecasting inflation would drop below the bank's 2% target in the medium term.

“We still see inflation moderating in the next year, but it will take longer to decline than originally expected,” she told lawmakers at the European Parliament.

Some economists in Europe, however, question her optimism. They say the pandemic is far from over, pointing to a fourth wave prompting rising cases across much of the continent and the prospect of a return of economically damaging retractions. Germany has declared a state of emergency and Austria has announced a full lockdown to begin Monday, becoming the first European country to go back under a full lockdown and the first to make COVID-19 vaccination compulsory.

Germany's coronavirus situation is so grave that a lockdown, including for the vaccinated, cannot be ruled out, German Health Minister Jens Spahn said Friday.

“We are in a national emergency,” he told a news conference.

The path back to normality is now again murky for Europe, and economists say the impact of a fourth wave of the coronavirus on household budgets is going to be significant — this at a time when the price of almost everything is going through the roof.

Source: Voice of America

After Pledging to Lead on Climate Issues, US Sells New Oil Drilling Rights

In a move that has some environmental activists charging it with hypocrisy, the Biden administration has approved the sale of oil and gas drilling rights to more than 80 million acres of the Gulf of Mexico — an act it says was mandated by a federal court ruling.

The auction on Wednesday by an arm of the U.S. Interior Department resulted in leases for 1.7 million of the 80 million available acres, with Exxon Mobil Corp. and Chevron Corp. among the top buyers. Some 308 lots were purchased for a total of $191.7 million, though it is not certain exactly how much of that will ultimately be developed.

The decision came just days after the close of the United Nations Climate Change Conference (COP26), at which President Joe Biden promised that the United States would be "leading by the power of our example" in the effort to achieve a zero-emissions future.

While some environmental groups accuse the administration of going back on its word, the Biden administration has said that it was forced to agree to the sale by a federal court ruling.

Shortly after taking office in January, Biden announced a moratorium on new leases for oil and gas projects on federal property. Republican attorneys general in more than a dozen states filed lawsuits challenging the halt in lease auctions, and in June, a U.S. District Court judge in Louisiana issued an injunction instructing the Biden administration to resume selling drilling rights.

At the time, a spokesperson for the Interior Department, which oversees the leasing of public lands for energy development, said, "We are reviewing the judge's opinion, and will comply with the decision."

In 2018, a report from the U.S. Geological Survey estimated that the operations of the fossil fuels industry — that is, the extraction, refining, and transportation of fuels, before they are actually used by the consumer — is responsible for about 23% of greenhouse gas emissions in the U.S. The report is frequently cited by environmental groups opposed to the leasing of public lands for energy development.

Wednesday's auction took place despite a pending lawsuit filed in Washington by the climate activist group Earthjustice. The suit alleges that an environmental impact study conducted in 2017, which the Biden administration used to justify the auction, was flawed and cannot be relied on.

Other options available

Brettny Hardy, a senior attorney with Earthjustice, told VOA that Biden had several other options for preventing the auction of the new leases but chose not to exercise them.

"The administration keeps saying that his hands were tied because of this Louisiana court ruling. But the administration has a ton of discretion under the underlying statute which is at play here, the Outer Continental Shelf Lands Act."

She acknowledged that the administration is appealing the district court ruling but criticized it for not seeking a stay of the judge's ruling while the appeal is decided.

Additionally, she said, the administration is aware of the failings of the environmental impact study underpinning the lease auction, pointing out that two other courts have already ruled that the greenhouse gas emissions model it used was insufficient. The administration could have used that knowledge to declare the auction illegal under the National Environmental Policy Act.

Energy industry pleased

By contrast, the energy industry and its supporters in Washington cheered the move.

In a statement provided to VOA, Frank Macchiarola, American Petroleum Institute senior vice president of policy, economics and regulatory affairs, said: "U.S. oil and natural gas production on federal lands and waters delivers the affordable and reliable energy America needs while providing much-needed funding for conservation, education, infrastructure and other important state and local priorities."

"Notably, U.S. oil and natural gas produced offshore in the Gulf of Mexico is also among the lowest carbon barrels produced in the world, according to U.S. Department of the Interior analysis that shows emissions from international substitutions are more carbon intensive," he added.

In a statement, Erik Milito, president of the National Ocean Industries Association, a trade group for the offshore energy industry, called on the Biden administration to offer more lease auctions in the future.

"Continued leasing is critical to our energy future; good decisions today will benefit America tomorrow," he said, adding that certainty about future leases "will advance climate progress, stimulate continued economic growth, support high-paying jobs throughout the country, and strengthen our long-term national security."

Lease extensions

It will take between five and 10 years for actual oil production to begin on the new sites, but once a site is producing oil, the energy company running the drilling operation is typically allowed to extend the lease indefinitely.

The Gulf of Mexico Outer Continental Shelf, a 160-million-acre expanse that includes the areas sold Wednesday, holds about 48 billion barrels of recoverable oil and 141 trillion cubic feet of recoverable natural gas, according to the Bureau of Ocean Energy Management.

A 'carbon bomb'

Environmental organizations said this week that they remain focused on pressuring the Biden administration to roll back the leases and reimpose the moratorium on additional auctions.

"The Biden administration is lighting the fuse on a massive carbon bomb in the Gulf of Mexico. It's hard to imagine a more dangerous, hypocritical action in the aftermath of the climate summit," said Kristen Monsell, oceans legal director at the Center for Biological Diversity.

"This will inevitably lead to more catastrophic oil spills, more toxic climate pollution and more suffering for communities and wildlife along the Gulf Coast," she said. "Biden has the authority to stop this, but instead he's casting his lot in with the fossil fuel industry and worsening the climate emergency."

Source: Voice of America

HTEC Group Acquires Momentum Design Lab – Surpassing 1,000 Employees, HTEC fuses Silicon Valley’s Highest-rated Digital Product Design Studio to its Top Engineering Talent

SAN FRANCISCO, Nov. 18, 2021 (GLOBE NEWSWIRE) — HTEC Group, the global consulting, software engineering, and digital product development company founded in Serbia, today announces the acquisition of Momentum Design Lab, an award-winning Silicon Valley product design studio.

The acquisition, which will further strengthen HTEC’s product design capabilities alongside its core engineering offering, means the company now employs over 1,000 people globally across offices in the US, UK, Netherlands, Sweden, and Slovenia. Since its inception in 2008, as a start-up in the Business Technology Incubator at the University of Belgrade, the company has grown from 250 employees in four development centers at the beginning of 2020, to now over 1,000 full-time employees spread across twelve locations in six countries across Southeast Europe.

Momentum will help HTEC build digital products that transform industries and businesses and improve the lives of people globally. Momentum’s client roster ranges from 40 of the Fortune 500 companies to exciting start-ups. The company has propelled their technology clients to generate over 41 billion USD in exits or valuation.

Established in 2002, Momentum Design Lab is a pioneer of UX, CX, and product design. Rated as the top UX agency globally on B2B research platform Clutch five years in a row, the company operates from four offices across the world: Silicon Valley, New York, London, and Sydney. Momentum’s industry expertise spans key areas such as financial services, healthcare, martech, media and entertainment, enterprise software and consumer products, complementing HTEC’s existing engineering competencies in these fields.

“I am delighted to welcome Momentum into our fast-growing team. In Momentum we found values and a culture that matches our own — the urge for continuous learning and professional growth, a stellar reputation among its existing customers, and a clear passion for delivering excellence when designing digital platforms and products that matter. By merging top tech talent from our engineering centers in Europe with this Silicon Valley product innovation and design-thinking mindset, we are well-positioned to offer complete digital product development and digitization services to the best companies in the world. We will continue to look for companies that share our values and culture, as part of our broader growth strategy and goal of becoming the first company from Serbia to IPO on the NYSE.” comments, Aleksandar Cabrilo, the CEO of HTEC Group.

Momentum’s founder, David Thomson, commented, “We’ve been meshing technology, empathy and imagination in our pursuit of product value and have been looking for the right partner to help scale our capabilities for several years. As a company who is inventing the possible for our customers, it was important to find a partner that matched our design expertise and customer base with world class technology talent. HTEC’s deep technical knowledge exceeded our expectations and we’re excited to join forces to build disruptive products, drive innovation and transform the way business is done from the inside out.”

About HTEC Group

HTEC Group is a global consulting, software engineering and digital product development company that empowers the world’s best high-tech companies, disruptive startups, corporations, and Fortune 500 enterprises with innovative product design thinking and sophisticated engineering services. With headquarters in San Francisco and local offices in the US, the UK, the Netherlands, Sweden, and Slovenia, as well as 12 tech development centers across Southeast Europe, HTEC is well-positioned to deliver sophisticated digital products and platforms across domains including Healthcare, Retail, Transportation and Mobility, Logistics, FinTech, Green Energy, Media and Deep Technology.

About Momentum

Momentum is a Silicon Valley design studio headquartered in San Mateo, with offices in New York, London and Sydney. The company offers design thinking-based and technology-driven services in digital product innovation, customer experience management, and digital transformation for which it was rated the #1 UX Agency globally on Clutch.co for 5 years in a row. Its customers range from startups to the Fortune 100 companies.

For media enquiries please contact Jovana Osterday, HTEC PR Manager, jovana.osterday@htecgroup.com

O HTEC Group adquire a Momentum Design Lab – ultrapassando os 1000 funcionários, a HTEC funde o estúdio de design de produto digital mais bem classificado de Silicon Valley com o seu talento de engenharia superior

SÃO FRANCISCO, Nov. 18, 2021 (GLOBE NEWSWIRE) — o HTEC Group, a empresa global de consultoria, engenharia de software e desenvolvimento de produtos digitais fundada na Sérvia, anuncia hoje a aquisição da Momentum Design Lab, um premiado estúdio de design de produto de Silicon Valley.

A aquisição, que fortalecerá ainda mais as capacidades de design de produto da HTEC, juntamente com a sua oferta principal de engenharia, significa que a empresa emprega agora mais de 1000 pessoas globalmente nos escritórios dos Estados Unidos da América, Reino Unido, Países Baixos, Suécia e Eslovénia. Desde a sua criação em 2008 como uma startup na Incubadora de Tecnologia de Negócios da Universidade de Belgrado, a empresa cresceu de 250 funcionários em quatro centros de desenvolvimento no início de 2020, para agora mais de 1000 funcionários em tempo integral, espalhados por doze locais em seis países do sudeste da Europa.

A Momentum irá ajudar a HTEC a construir produtos digitais que transformam indústrias e negócios e melhoram a vida das pessoas em todo o mundo. A lista de clientes da Momentum varia de 40 empresas da Fortune 500 a empolgantes startups. A empresa levou os seus clientes de tecnologia a gerar mais de 41 mil milhões de dólares norte-americanos em saídas ou avaliações.

Fundada em 2002, a Momentum Design Lab é pioneira em UX, CX e design de produto. Classificada como a melhor agência de UX a nível global na plataforma de pesquisa B2B Clutch durante cinco anos consecutivos, a empresa opera em quatro escritórios espalhados por todo o mundo: Silicon Valley, Nova Iorque, Londres e Sydney. A experiência da Momentum abrange áreas-chave, como serviços financeiros, saúde, martech, comunicação social e entretenimento, software empresarial e produtos de consumo, complementando as competências de engenharia existentes da HTEC nestes campos.

“Estou muito feliz por dar à Momentum as boas-vindas à nossa equipa em rápido crescimento. Na Momentum, encontrámos valores e uma cultura que correspondem aos nossos – o desejo de aprendizagem contínua e crescimento profissional, uma excelente reputação entre os seus clientes existentes e uma clara paixão em fornecer excelência ao conceber plataformas digitais e produtos verdadeiramente importantes. Ao fundir o talento tecnológico de ponta dos nossos centros de engenharia na Europa com esta mentalidade de inovação de produtos e design do Silicon Valley, estamos bem posicionados para oferecer serviços de digitalização e desenvolvimento de produtos completos às melhores empresas do mundo. Iremos continuar à procura de empresas que partilhem os nossos valores e cultura como parte da nossa estratégia de crescimento mais ampla e do nosso objetivo de nos tornarmos na primeira empresa da Sérvia a fazer OPI na NYSE”, comentou Aleksandar Cabrilo, CEO do HTEC Group.

O fundador da Momentum, David Thomson, adicionou, “Há vários anos que combinamos tecnologia, empatia e imaginação com a nossa procura pelo valor do produto, e também há vários anos que procurávamos o parceiro certo para nos ajudar a expandir as nossas capacidades. Como uma empresa que está a inventar o possível para os nossos clientes, era importante encontrar um parceiro que combinasse a nossa experiência em design e a nossa base de clientes com talento em tecnologia de classe mundial. Os profundos conhecimentos técnicos da HTEC excederam as nossas expetativas e estamos entusiasmados em unir forças para construir produtos inovadores, impulsionar a inovação e transformar a forma como os negócios são feitos de dentro para fora.”

Sobre o HTEC Group

O HTEC Group é uma empresa global de consultoria, engenharia de software e desenvolvimento de produtos digitais que capacita as melhores empresas de alta tecnologia do mundo, startups disruptivas, corporações e empresas Fortune 500 com pensamento inovador em design de produtos e serviços de engenharia sofisticados. Com sede em São Francisco e escritórios locais nos Estados Unidos da América, Reino Unido, Países Baixos, Suécia e Eslovénia, bem como 12 centros de desenvolvimento de tecnologia no sudeste da Europa, a HTEC está bem posicionada para fornecer produtos e plataformas digitais sofisticadas em vários domínios, incluindo saúde, retalho, transporte e mobilidade, logística, FinTech, energia verde, imprensa e tecnologia profunda.

Sobre a Momentum

A Momentum é um estúdio de design de Silicon Valley com sede em San Mateo e com escritórios em Nova Iorque, Londres e Sydney. A empresa oferece serviços baseados em “design thinking” e serviços impulsionados pela tecnologia em inovação de produtos digitais, gestão da experiência do cliente e transformação digital, pelo que foi classificada como a agência UX n.º 1 a nível global na Clutch.co durante 5 anos consecutivos. Os seus clientes variam entre startups e empresas Fortune 100.

Contacto de imprensa: Jovana Osterday, HTEC PR Manager, jovana.osterday@htecgroup.com

Le groupe HTEC acquiert Momentum Design Lab – Dépassant les 1 000 employés, HTEC fusionne le studio de conception de produits numériques le mieux noté de la Silicon Valley avec ses meilleurs talents en ingénierie

SAN FRANCISCO, 18 nov. 2021 (GLOBE NEWSWIRE) — HTEC, société mondiale de conseil, d’ingénierie logicielle et de développement de produits numériques fondée en Serbie, a annoncé aujourd’hui l’acquisition de Momentum Design Lab, un studio de conception de produits primé de la Silicon Valley.

L’acquisition, qui renforcera encore les capacités de conception de produits de HTEC ainsi que son offre d’ingénierie de base, signifie que la société emploie désormais plus de 1 000 personnes à travers le monde dans ses bureaux situés aux États-Unis, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en Suède et en Slovénie. Depuis sa création en 2008 en tant que start-up de l’incubateur de technologies commerciales à l’Université de Belgrade, l’entreprise est passée de 250 employés travaillant sur quatre centres de développement début 2020 à plus de 1 000 employés à temps plein répartis sur douze sites et six pays d’Europe du Sud-Est.

Momentum aidera HTEC à créer des produits numériques qui transforment les industries et les entreprises, et améliorent la vie des gens dans le monde. La clientèle de Momentum comprend 40 entreprises membres du classement Fortune 500, mais aussi des start-ups passionnantes. La société a permis ses clients technologiques de générer plus de 41 milliards USD de chiffre d’affaires ou de valorisation.

Fondé en 2002, Momentum Design Lab est un pionnier de l’UX, du CX et de la conception de produits. Classée meilleure agence UX au monde sur la plateforme de recherche B2B Clutch cinq années de suite, la société opère à partir de quatre bureaux à travers le monde : la Silicon Valley, New York, Londres et Sydney. L’expertise industrielle de Momentum couvre des domaines stratégiques tels que les services financiers, la santé, les technologies de pointe, les médias et divertissements, les logiciels d’entreprise et les produits de consommation, en complément des compétences d’ingénierie existantes de HTEC dans ces domaines.

« Je suis ravi d’accueillir Momentum au sein de notre équipe en pleine croissance. Chez Momentum, nous avons trouvé des valeurs et une culture qui correspondent aux nôtres : l’envie d’un apprentissage et d’une croissance professionnelle continus, une excellente réputation auprès de nos clients existants et une passion évidente pour l’excellence lors de la conception de plateformes numériques et de produits qui comptent. En fusionnant les meilleurs talents technologiques de nos centres d’ingénierie en Europe avec cet esprit d’innovation et de conception de produits propre à la Silicon Valley, nous sommes bien placés pour proposer des services de développement de produits numériques et de numérisation complets aux meilleures entreprises du monde. Nous continuerons à rechercher des entreprises qui partagent nos valeurs et notre culture, dans le cadre de notre stratégie de croissance élargie et de notre objectif de devenir la première entreprise serbe cotée à la Bourse de New-York », a commenté Aleksandar Cabrilo, Président-directeur général du groupe HTEC.

Le fondateur de Momentum, David Thomson, a pour sa part déclaré : « Nous avons mêlé la technologie, l’empathie et l’imagination dans la quête de valeur de nos produits et sommes à la recherche du partenaire adéquat pour nous aider à faire évoluer nos capacités depuis plusieurs années. En tant qu’entreprise qui invente le possible pour ses clients, il était important que nous trouvions un partenaire capable d’associer notre expertise en conception et notre clientèle à des talents technologiques d’envergure mondiale. Les connaissances techniques approfondies de HTEC ont dépassé nos attentes et nous sommes ravis d’unir nos forces pour créer des technologies de rupture, stimuler l’innovation et transformer de fond en comble la façon dont nous menons nos affaires ».

À propos de HTEC Group

HTEC Group est une société mondiale spécialisée dans le conseil, l’ingénierie logicielle et le développement de produits numériques, qui offre aux meilleures entreprises de haute technologie, start-ups, corporations et sociétés membres du classement Fortune 500 à travers le monde une réflexion sur la conception de produits innovants et des services d’ingénierie de haute technicité. Avec son siège social situé à San Francisco et des bureaux de représentation locaux aux États-Unis, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, en Suède et en Slovénie, ainsi que 12 centres de développement technologique répartis dans toute l’Europe du Sud-Est, HTEC est bien positionnée pour proposer des produits et plateformes numériques de haut niveau dans des domaines tels que la santé, le commerce de détail, le transport, la mobilité, la logistique, les technologies financières, l’énergie verte, les médias et les technologies approfondies.

À propos de Momentum

Momentum est un studio de conception de la Silicon Valley dont le siège est situé à San Mateo et possédant des bureaux de représentation à New York, Londres et Sydney. La société propose des services basés sur le design thinking et axés sur la technologie dans les domaines de l’innovation de produits numériques, la gestion de l’expérience client et la transformation numérique, pour lesquels elle a été classée n° 1 mondiale des agences UX sur Clutch.co pendant 5 années consécutives. Ses clients vont des start-ups aux entreprises membres du Fortune 100.

Pour les demandes des médias, veuillez contacter Jovana Osterday, Responsable RP de HTEC : jovana.osterday@htecgroup.com.

 

Neolith materializes its commitment to the U.S. market by multiplying its openings

CASTELLÓN, Spain, Nov. 18, 2021 /PRNewswire/ — Neolith the global leading company in the sintered stone industry, has just opened a new 4,200 square meters, state-of-the-art distribution center in New Jersey, servicing New York and the Tri-State area, in line with the company’s aggressive strategic expansion in the North American market.

New 4,200 square meters, state-of-the-art distribution center in New Jersey, USA.

This opening follows recent openings of Atlanta, Georgia and Miami, Florida, adding over 9,500 square meters of extra surface in state-of-the-art centers. With this, Neolith completes directly and through its network of collaborating partners a total of 35 distribution centers, becoming the largest specialized sintered stone distribution network in the entire U.S. market.

“As we already announced in our expansion plan, the U.S. was one of our strategic markets and here we are, today, pleased to announce that we are materializing our commitment” said Jose Luis Ramon, CEO of Neolith Group.

Neolith responds this way to the growing demand it is having in the country by the vibrant community of architects and interior designers, for which the brand has employed a design team specialized in the U.S. market, creating a line of design, colours and collections especially thought to inspire the local market.

“This is just the beginning; it is going to be a great transformation and we will capitalize the huge potential it brings. The U.S. stands at the forefront of architecture and design worldwide while Neolith is the brand of choice for the world’s most bold and innovative architects and designers. We are very pleased to be able to work side by side with them, with more intensity than ever, designing and creating unique spaces to be lived in, and this can only be achieved by providing an excellent service from start to end to deliver the best-in-class brand experience” says James Amendola, vice president for North America at Neolith.

An argument that is supported by the results of a survey conducted by the company at a global level, nearly 90 percent of architects and designers would recommend Neolith for their projects, for its ability to combine design and functionality, as well as for being the most sustainable in its category.

Sintered stone is a value at the forefront and Neolith is at the forefront of sintered stone. While environmental world leaders are nowadays pledging to cut carbon emissions, Neolith prides itself in being the first company in the category to become carbon neutral. Striving to continue being the greener and safer overall surface solution while strongly supporting a circular economy, Neolith is day-to-day enhancing its innovation program and product sustainability as demonstrated by its recent celebrated green technologies 90R and NeolEAT.

About Neolith
Founded in 2009, Neolith is the leading global brand in sintered stone. A revolutionary and innovative architectural surface made from natural materials and with superior technical characteristics, Neolith is ideal for the most demanding interior and exterior building projects. Designed and manufactured to satisfy the most stringent needs in the worlds of architecture and interior design, Neolith is renowned for its quality, versatility, durability, elegance and style as well as sustainability and practicality.

Photo – https://mma.prnewswire.com/media/1691463/Neolith.jpg

Huawei Global Oil & Gas Summit 2021 : des solutions intelligentes pour les champs pétroliers et gaziers

ABU DHABI, Émirats arabes unis, 18 novembre 2021 /PRNewswire/ — Le 14 novembre, Huawei a organisé son Global Oil & Gas Summit 2021 à Abu Dhabi, sur le thème « Drive Data to Barrel, Embrace Intelligence to Grow », ou « Exploiter les données jusqu’au baril, adopter une solution intelligente pour se développer ». Lors de ce sommet, Huawei a lancé une nouvelle solution, « Intelligent Oil & Gas Fields », conçue pour aider les entreprises pétrolières et gazières à passer au numérique. La solution couvre plusieurs aspects de la numérisation, notamment la sécurité des sites, l’inspection de la production et la maintenance prédictive. Grâce aux technologies de données et d’intelligence, Huawei fait progresser la transformation numérique et le développement intelligent dans l’ensemble du secteur.

Le monde s’accorde à dire que l’énergie et la transformation numérique sont essentielles pour l’avenir de la planète. Lv Gongxun, ancien vice-président de PetroChina, CNPC, a souligné que la transformation numérique de l’industrie pétrolière et gazière apportera des services, un modèle commercial et des modèles de gestion innovants au secteur.

La neutralité carbone signale à la fois de nouveaux défis et de nouvelles opportunités pour l’industrie énergétique mondiale. Dans son discours d’ouverture, Robin (Yongping) Lu, vice-président exécutif de la Global Energy Business Unit de Huawei Enterprise BG, a souligné l’importance d’intégrer l’énergie et la transformation numérique pour atteindre la neutralité carbone. Pour ce faire, les industries de l’énergie et de la technologie doivent collaborer, en renforçant les forces de chacun et en explorant divers scénarios industriels.

Robin (Yongping) Lu, Executive Vice President of Global Energy Business Unit of Huawei Enterprise BG (PRNewsfoto/Huawei)

Huawei a lancé la solution « Intelligent Oil & Gas Fields » pour aider l’industrie pétrolière et gazière à relever les défis.

Lors du sommet, Huawei et G2K Group ont lancé la solution Intelligent Oil & Gas Fields, présentée par Robin (Yongping) Lu et Christen Bear, directeur général, responsable régional du CCG chez G2K Group. L’architecture de la solution se compose de quatre couches : terminal industriel, réseau IoT, plateforme numérique et application intelligente.

La solution vise à aider les entreprises pétrolières et gazières à faire face aux risques et aux coûts, à remédier aux silos de données, ainsi qu’à répondre rapidement aux urgences et à mettre en place des systèmes de sécurité de l’information robustes. Sur la base de l’architecture de la solution, Huawei améliorera continuellement les plateformes numériques et les applications de service de production, mettra en œuvre l’interconnexion des données grâce à l’IoT et conduira la transformation de la gestion aplatie. Huawei se concentre sur les exigences en matière de sécurité et d’efficacité, contribuant à augmenter les réserves et la production, à améliorer l’efficacité, à réduire les coûts et les émissions de carbone, et à assurer la sécurité opérationnelle.

La solution tous scénarios de Huawei pour le pétrole et le gaz est axée sur la collaboration de tous les domaines de l’industrie.

Lors du sommet, Huawei a également fait la démonstration de ses solutions tous scénarios et de ses capacités techniques dans les domaines de l’exploration, du développement et de la production en amont, de la gestion des actifs des pipelines en milieu de parcours, ainsi que du raffinage et de la vente de produits chimiques en aval.

L’adoption généralisée de technologies telles que le cloud computing, le big data, l’IA et la 5G facilite la découverte de la valeur potentielle des données, améliorant ainsi l’efficacité E2E des compagnies pétrolières dans l’exploration, le développement, la production, le stockage, le transport, le raffinage et la vente du pétrole. Wu Shuhong, secrétaire du centre de recherche en IA de la CNPC, et Deng Xili, responsable principal, G&G (RCM), CNPC RIPED, ont partagé comment la solution intelligente E&P de Huawei utilise le cloud, l’IA et le big data pour traiter rapidement et précisément les données sismiques, identifier les réservoirs de pétrole et de gaz, et diagnostiquer les conditions de travail des puits de pompage. Nous pouvons explorer davantage la valeur des « données silencieuses » et des « données inutiles ».

Dans le même temps, la migration des services critiques vers le cloud permet de résoudre les problèmes courants, tels que la lenteur de réaction, le coût élevé et la faible efficacité des infrastructures des champs pétroliers et gaziers. Zhang Tiegang, ancien ingénieur en chef adjoint de l’Institut de recherche sur l’exploration et le développement du champ pétrolifère de Daqing, a expliqué les avantages de la solution « Intelligent Oil & Gas Fields » dans des scénarios réels. Grâce aux capacités de cloud computing de Huawei, Daqing Oilfield a traité plus de 22 000 kilomètres carrés de données sismiques en 2020, ce qui représente plus du double de la capacité de traitement des données d’origine.

Huawei construit un écosystème ouvert et travaille avec des partenaires pour créer plus de valeur.

La collaboration est essentielle pour étendre les solutions de Huawei. Huawei a mis à niveau son système de partenariat et a collaboré avec différents types de partenaires. David (Zhengyu) Shi, président de l’Enterprise Business Group de Huawei au Moyen-Orient, a souligné l’importance des efforts partagés par les clients, les partenaires et Huawei pour promouvoir l’innovation. À cette fin, Huawei a construit un système de services de partenariat pour soutenir la transformation numérique E2E et développer des solutions innovantes.

Pendant ce temps, Christen Bear a partagé l’expérience de G2K Group dans sa collaboration avec Huawei. Elle a présenté les solutions innovantes que les deux entreprises ont développées jusqu’à présent, et a déclaré qu’il y aura plus d’opportunités de collaboration à l’avenir, car elles continuent d’apporter de la connectivité et des solutions intelligentes aux clients et à mener de nouvelles normes pour la transformation numérique.

En tant que fournisseur mondial d’infrastructures TIC et d’appareils intelligents, Huawei fournit des produits matériels performants pour aider les entreprises pétrolières et gazières à construire des réseaux et des centres de données agiles et fiables. À l’avenir, Huawei continuera à se concentrer sur l’industrie pétrolière et gazière, à consolider les capacités des partenaires, à développer davantage de solutions basées sur des scénarios et à travailler avec les clients pour créer ensemble une nouvelle valeur.

Photo – https://mma.prnewswire.com/media/1689645/Robin_Lu.jpg

Laserfiche Empower 2022 invite les dirigeants à accélérer l’innovation et à renforcer la résilience numérique

Parmi les principaux conférenciers figurent Linda Bernardi, disruptrice et innovatrice technologique, et Karamo, animateur de « Queer Eye ».

LONG BEACH, Californie, 18 novembre 2021 /PRNewswire/ — Laserfiche — le principal fournisseur SaaS de gestion intelligente de contenu et d’automatisation des processus d’affaires – a annoncé aujourd’hui la liste des conférenciers d’Empower 2022, la conférence annuelle de la société et le premier rassemblement des leaders de la transformation numérique. L’événement, qui se déroulera entièrement en ligne du 7 au 17 février, réunira des professionnels de l’informatique, des chefs d’entreprise et des membres de la communauté Laserfiche au sens large pour réimaginer le monde du travail. L’événement de 2022 proposera également des séances conçues spécifiquement pour les publics des régions Amériques, Europe et Moyen-Orient, et Asie-Pacifique. Inscrivez-vous dès maintenant sur empower.laserfiche.com.

Laserfiche is the leading SaaS provider of intelligent content management and business process automation.

À travers des discours, des sessions en petits groupes, des formations pratiques et des événements de réseautage en direct, les participants découvriront les dernières innovations des produits Laserfiche, et exploreront des stratégies permettant de relever les principaux défis commerciaux et de conduire des changements percutants au sein de leurs organisations. Des leaders d’opinion, des experts du secteur, des clients et des partenaires de Laserfiche, des analystes et des journalistes animeront des sessions portant sur la manière de relever avec succès les défis actuels et de mener des initiatives significatives de transformation et de résilience numériques. Parmi les conférenciers passionnants d’Empower 2022, citons, entre autres :

  • Linda Bernardi : entrepreneuse disruptive en série, auteure, disruptrice et innovatrice technologique, Linda Bernardi est également consultante et conférencière internationale. Auparavant, elle a été directrice de l’innovation chez IBM, directrice de l’IA chez Element AI à Montréal et conseillère principale en technologie chez McKinsey. Linda Bernardi expliquera comment provoquer efficacement une rupture, réimaginer l’innovation et créer une culture qui favorise la pensée innovante.
  • Karamo : auteur, acteur, activiste et animateur de « Queer Eye », Karamo se joindra à Jonathan Landrum Jr, journaliste et producteur de spectacles de l’Associated Press, pour une discussion au coin du feu sur l’autosoin, la résilience et la réimagination des parcours personnels et professionnels.
  • George Westerman : leader d’opinion en matière de transformation numérique, maître de conférences au MIT et chercheur principal au MIT Jameel World Education Laboratory, George Westerman partagera les leçons tirées des entreprises qui ont réussi leur transformation numérique.
  • Michelle Weise : Experte en conception de l’avenir de l’apprentissage et du travail, Michelle Weise, vice-chancelière de la stratégie et de l’innovation du National University System, présentera des stratégies permettant de rester pertinent et résilient sur le marché du travail aujourd’hui et demain.
  • Shivvy Jervis : Une des principales « femmes de l’année » 2021 en Grande-Bretagne, Shivvy Jervis, diffuseuse et futuriste primée, apportera son point de vue sur l’avenir de l’économie numérique et expliquera comment les organisations peuvent s’adapter et prospérer.
  • Anne Helen Petersen : auteure et journaliste Anne Helen Petersen animera une discussion sur la nécessité de repenser la culture de la productivité.
  • Steven Rogelberg, Ph.D. : Principal spécialiste mondial des réunions selon Adam Grant, tel qu’il a été présenté sur CBS This Morning, Freakonomics, BBC World et d’autres, auteur de « The Surprising Science of Meetings », Steven Rogelberg, professeur à l’UNC Charlotte, explorera la science des réunions et la façon dont elle peut élever les réunions au rang d’activités productives, innovantes et passionnantes qui ne vous épuisent pas.
  • Kate Russell : Journaliste technologique et auteure, Kate Russell présentera le discours pour la région EMEA, sur le thème de l’humanité dans un monde numérique.
  • Azran Osman Rani : PDG et cofondateur de l’entreprise de solutions de santé numérique Naluri, et ancien PDG d’AirAsia X, la première compagnie aérienne long-courrier à bas prix au monde, Azran Osman Rani dirigera le discours de la région APAC avec une présentation sur la disruption des entreprises et la manière de rendre possible l’impossible

En plus des possibilités d’apprentissage et des ressources en matière de transformation numérique qu’il offre aux participants, Empower 2022 proposera également le réseautage et des surprises amusantes que les participants attendent de cet événement annuel. Pour en savoir plus ou pour vous inscrire à Empower, consultez le site empower.laserfiche.com.

À propos de Laserfiche
Laserfiche est le principal fournisseur SaaS de gestion intelligente de contenu et d’automatisation des processus commerciaux. Grâce à des flux de travail performants, des formulaires électroniques, une gestion des documents et des analyses, la plateforme Laserfiche® accélère la manière dont les affaires sont menées, permettant aux dirigeants de se concentrer sur la croissance de l’entreprise.

Laserfiche est une société pionnière en matière de gestion du contenu des entreprises dans un environnement sans papier. Aujourd’hui, son approche de développement axée sur le cloud intègre les innovations en matière d’apprentissage machine et d’IA, afin de permettre aux entreprises de plus de 80 pays de passer au numérique. Des clients de tous les secteurs d’activité – notamment les administrations publiques, l’éducation, les services financiers, la santé et l’industrie manufacturière – utilisent Laserfiche pour stimuler la productivité, faire évoluer leur entreprise et offrir des expériences client digital-first.

Basés dans différents bureaux aux quatre coins du globe, les employés de Laserfiche s’engagent à respecter la vision de l’entreprise, qui consiste à donner aux clients les moyens d’agir et à inciter les gens à revoir la manière dont la technologie peut transformer leurs vies.

Pour communiquer avec Laserfiche :
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New York to Charge Drivers for Pollution, Congestion

Someday soon, drivers entering downtown Manhattan can expect to pay for the pollution and traffic jams they cause.

Congestion pricing is a way that places such as Stockholm and Singapore are trying to unclog streets and clean up their air by making it more expensive for drivers to bring dirty vehicles into town.

With traffic bringing many cities to a standstill, air pollution killing an estimated 4 million people per year, and concerns about climate change growing, interest in finding ways to clean up transportation is increasing worldwide.

Economists love congestion pricing. Drivers? Not so much.

But voters in cities that have tried it have come to accept it.

The policy typically works by drawing a border around a city's downtown business district and charging vehicles to cross the border. Some cities have gone beyond congestion charges and impose extra fees based on the vehicle model's pollution levels.

London keeps track of vehicles with a network of cameras that photograph license plates. In other cities, cars carry electronic tags. Some cities, rather than identifying individual vehicles, simply bar vehicles on certain days based on license plate numbers.

Free roads aren't free

New York City has begun holding public meetings to work out its congestion pricing plan, the first in the United States.

Under current proposals, drivers would pay between $9 and $23 to drive passenger vehicles south of Central Park, with some exceptions.

The money raised would go toward improving the city's public transit system.

The idea behind congestion pricing is to make people pay for something that they generally think of as free but isn't, said Williams College economist Matthew Gibson.

"When I decide to travel a mile on an unpriced public road, I'm not thinking about the cost I'm imposing on other members of society in the form of accident risk, air pollution and congestion," he said.

Congestion pricing imposes that cost. If the cost is high enough, drivers will look for alternatives such as public transportation, carpooling, biking or walking.

Studies have found that congestion pricing does work for the most part. But it needs to evolve.

For example, in 2008, Milan started charging high-pollution vehicles a fee to enter the city's central business district. It worked. Traffic cleared up — for a while.

Drivers did what the policy intended for them to do: They replaced their old, dirty vehicles with newer, cleaner ones. And they hit the roads again. Traffic came back.

So, in 2012, the city imposed a congestion fee on all vehicles.

A glimpse at how effective the policy was came when an Italian court put it on hold temporarily in the middle of 2012.

Traffic spiked immediately.

Researchers found that the congestion fee was reducing traffic by 14.5% and lowering air pollution between 6% and 17% — a big drop, considering the pollution fee had already cleaned up vehicle emissions.

Congestion and pollution fees don't always do much to clear the air, experts say. Sometimes other pollution sources, such as coal-fired power plants or heavy industries, cause more pollution than vehicles, for example. And sometimes other measures, such as increasing vehicle efficiency standards, may make the impact of the fees less obvious.

Winning over voters

What is obvious, studies have found, is how congestion and pollution fees clear the roads.

In Milan, for example, "the immediate result was the reduction of traffic congestion," said Bocconi University economist Edoardo Croci. "It is an immediate and evident impact that people notice."

That impact has persuaded voters to keep these policies, even though most were opposed to them at first.

Milan's pollution fee was not popular when officials proposed it. But voters agreed to expand the fee to all vehicles in 2012 after they saw how the pollution fee had cleared the streets.

The same thing happened in Stockholm. Solid majorities opposed a congestion fee when the city launched a six-month pilot program in 2006. But voters approved it permanently after the pilot ended.

"The initial opposition was only because of the fear of something new," Croci said. "But once the advantages were evident, most people were in favor of the charge."

Both cities invested heavily in public transit before the fees kicked in.

That's critical, experts say. The policy won't work if people don't have another option besides driving.

A hard sell in U.S.?

While New York City has an extensive public transit system, congestion pricing "might be a much harder pitch to make for other large U.S. cities," said economics Ph.D. candidate Matt Tarduno at the University of California, Berkeley.

In sprawling cities such as Los Angeles or Phoenix, he said, "people would say, 'Well, I don't want to pay this toll, and if I don't pay the toll and can't drive, what else am I going to do?'"

Without good alternatives, congestion fees can hit the poor disproportionately. Critics note that rich people can afford to drive polluting cars downtown if they want.

New York City plans to exempt people earning less than $60,000 per year.

It's a balancing act, Tarduno said. Lower-income drivers tend to drive older and less efficient cars, which can make the policy less effective.

New York is planning a lengthy public review process, followed by months more to roll out the program. It may be another two years before Manhattan drivers start paying for their pollution and congestion.

Source: Voice of America